Tout doit disparaître
Du 03.12.21 au 22.01.22 Exposition personnelle à l’Antenne
Saint-Etienne
2021
Tout doit disparaître est une exposition où le visiteur est libre de repartir avec les sculptures de son choix. C’est une installation que l’on regarde avec les mains, où on se sert dans les stocks, que l’on dépouille.
Les sculptures qui la composent sont produites en séries, de 2 à 50, 2000 exemplaires. À mi-chemin entre la quincaillerie, le grossiste et le magasin en liquidation totale, ce travail offre, sur un temps court,
un espace où tout est à portée de main.
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Entre 17h et 19h30, l’exposition «Tout doit disparaître» ouvre ses portes. Le public peut repartir avec autant de sculptures qu’il souhaite. Tout est gratuit. Les lampes en bois sont emportées par des employés de la mairie. Les peintures de chèvre partent rapidement, et un troc entre visiteurs se met en place. À 19h, deux des trois étagères ont disparues. Quand les dernières personnes partent, il ne reste que quelques sculptures mélangées dans des cartons.
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©
Alexandre Beltran
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©Alexandre Beltran
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Du 03.12.21 au 22.01.22 Exposition personnelle à l’Antenne
Saint-Etienne
2021
Tout doit disparaître est une exposition où le visiteur est libre de repartir avec les sculptures de son choix. C’est une installation que l’on regarde avec les mains, où on se sert dans les stocks, que l’on dépouille.
Les sculptures qui la composent sont produites en séries, de 2 à 50, 2000 exemplaires. À mi-chemin entre la quincaillerie, le grossiste et le magasin en liquidation totale, ce travail offre, sur un temps court,
un espace où tout est à portée de main.
20 janvier 2022
Entre 17h et 19h30, l’exposition «Tout doit disparaître» ouvre ses portes. Le public peut repartir avec autant de sculptures qu’il souhaite. Tout est gratuit. Les lampes en bois sont emportées par des employés de la mairie. Les peintures de chèvre partent rapidement, et un troc entre visiteurs se met en place. À 19h, deux des trois étagères ont disparues. Quand les dernières personnes partent, il ne reste que quelques sculptures mélangées dans des cartons.
©
Alexandre Beltran
©Alexandre Beltran
